« Solide » c’est malheureusement un terme trop flou pour pouvoir répondre dans cette F.A.Q. .
Demandez-nous plutôt si ça tient une charge de 1 kg ?  10 kg ? 100 kg ? Et où s’applique cette charge ?
La solidité de la pièce dépend de nombreux facteurs comme l’épaisseur, la matière, la technologie d’impression, la surface mini entre chaque couche, l’orientation des couches etc..
Certaines pièces très fines peuvent casser comme de la chips tandis d’autres résiste sans problème aux coups de marteau et des charges >100 kg.
Il est donc malheureusement impossible d’apporter une réponse simple à ce type de questions.
Mais si vous nous expliquez le contexte et les efforts en jeu, Hephaprint sera alors en mesure de vous garantir la résistance suffisante de la pièce à ses conditions d’utilisations.

Afin de vous aider à y voir plus clair dans les différents matériaux utilisables en impression FDM, utilisez le lien ci-dessous pour servir de comparatif de base suivant vos exigences mécaniques. Ce sont essentiellement les 4 colonnes tout à droite du tableau qui vous serviront : Cliquez ici pour le tableau comparatif matériaux

En parallèle de ce tableau assez exhaustif, vous trouverez ici les matières proposées/en stock chez Hephaprint.

Pratiquement 😊, la limite la plus commune c’est celle d’une épaisseur trop fine qui rend la pièce trop fragile.
Pour les pièces de très grandes tailles ( > 50 cm), il est tout à fait possible d’imprimer en plusieurs morceaux et d’assembler les éléments de manière très rigides et en maquillant les jonctions.

Tout dépend de la charge de travail et des couts engendrés par votre demande.
En général pour refaire une petite pièce cassée, il faut compter environ 15€ le dessin 3D et 15€ l’impression 3D.
Évidemment si vous avez déjà le fichier 3D (trouvé ou dessiné), il n’y a plus qu’à payer les 15€ (dans cet exemple). Plus la quantité est grande, plus le prix à l’unité baisse rapidement car c’est la fabrication de la première pièce qui demande 90% du travail.
Si besoin de ponçage et de peinture, c’est possible mais vu que ça prend pas mal de temps, ça fait souvent explosé le prix et c’est un service général réservé pour des objets destiné à être exposé au public.

En général non car reprendre les dimensions au pied à coulisse est souvent bien plus rapide et efficace que de passer par la longue étape du scanner 3D.
En général c’est en derniers recours notamment pour des surfaces complexes ou des œuvres artistiques.
Dans tous les cas Hephaprint est équipé en scanners 3D et l’utilise en cas de besoin.

Suivant nos disponibilités et celles des machines, ça peut prendre 1h comme une semaine 24h/24. Évidemment plus c’est grand plus c’est long à imprimer.

Non malheureusement, car ça reste une technologie extrêmement cher pour s’équiper ainsi que pour les prix de vente des pièces à l’unité. Le métal reste un matériau bien plus résistant que la très grande majorité des polymères donc l’intérêt est indéniable. Chez la concurrence, en général le prix est à 200€ minimum pour une pièce et le délai est souvent proche de 3-4 semaines car il faut remplir le plateau d’impression vraiment au maximum pour rentabiliser l’impression efficacement.

Donc pour l’instant Hephaprint n’est pas en mesure de proposer des impressions 3D métal. Mais vu la rapidité des progrès techniques dans ce domaine, d’ici quelques années peut-être que Hephaprint en sera capable 😉